La roquette de nos eaux douces : le barbeau

Comment expliquer le lien que j’ai tissé avec cette torpille de nos rivières? Depuis tout petit ce poisson me fascine, me fait rêver. Je le trouve beau, puissant, racé… il a tout pour me plaire et me faire avaler les kilomètres.


Barbeau en plein gavage entre les galets… dans quelques minutes il avalera goulument une bonne grosse Nymphe sur H10 fort de fer! Backing garranti…

Séquence émotion quand je découvre une bande de barbus qui retourne les galets de nos rivières avec les reflets dorés qui colorent le fond de l’eau. Mes premiers gros barbeaux ont été attrapé au toc en dérive naturelle avec des portes bois et des petits vers de terreau. Quelle bagare, quelle détermination…

J’aime les défis et j’ai décidé d’attraper ce poisson à la mouche! 4 années de test, d’énormes échecs (cuisants) pour pénétrer la vie de cette déesse des eaux et enfin attraper mes premiers barbeaux à la mouche! Depuis j’ai attrapé une « barbeautite » aigu et chronique… Dans un prochain article je détaillerai mon expérience dans l’approche et la pêche de cette star des eaux vives qui réserve bien des surprises au pêcheur avide de sensations fortes!

Et n’oubliez pas d’abréger les combats et de le remettre rapidement à l’eau! Au prochain passage il vous remerciera d’un petit clin d’oeil malicieux . Oui OK j’y trouve un air sympa, on est bien copainggg… la preuve :

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